Juste pour démentir ceux qui ne veulent pas croire à la croissance exponentielle du Loup. Dans les années 60 du siècle dernier le Loup aux USA n'était plus présent que dans le nord de l'Etat du Minnesota (avec des groupes dans le Wisconsin et le Michigan) avec moins de 500 spécimens. Il y en avait environ 1.000 1974 en 1980 lorsque le loup a été inclus parmi les espèces particulièrement protégées (en 1.200, il y en avait environ XNUMX XNUMX dans le seul Minnesota). Jusqu'à il y a environ 15 ans, c'était la seule population en croissance aux États-Unis. Après certaines de ses réintroductions faites il y a un peu moins de vingt ans, l'espèce s'est ensuite propagée dans 6 autres états où elle a commencé à se reproduire, à tel point qu'entre 2011 et 2012 l'administration Obama a décidé de la retirer de la liste des espèces particulièrement protégées. . .
Eh bien, 2.570 1.611 ont été légalement tués depuis ! C'est-à-dire, disent les amis du loup américain, environ la moitié de la population dans son ensemble, dont 66 1995 seulement dans l'Idaho, le Montana et le Wyoming (où 96 spécimens avaient été réintroduits en 562-500), et 60 dans le seul Minnesota (rappelez-vous qu'il y en avait moins de XNUMX au milieu des années XNUMX !). En revanche : en attendant, des opérations sont menées pour réintégrer le loup mexicain. Le sérieux américain réside précisément en cela : il ne protège que là où et quand il le faut, étant donné que le Loup ne peut se permettre de grandir sans discernement à cause des problèmes sociaux qu'il entraîne ; pas "n'importe quel loup tant qu'il y a un loup", comme c'est le cas ici !
Il en va de même pour la France voisine, où le loup "venu des Apennins" s'est développé d'une manière sans précédent en Italie (évidemment, l'effet "érotisme français" a également affecté les capacités sexuelles de l'animal !). Sans oublier l'Espagne, la Norvège et la Suède, malgré le veto que, selon les « lupophiles » italiens, l'Europe mettrait (évidemment, comme beaucoup d'autres directives, elles sont interprétées « ad Statum » !). Lupo-luna Commentaire : il n'y a qu'en Italie que le loup ne "balaie" pas ! Qui sait, peut-être que le fait d'en avoir fait un Totem intouchable a fini par le rendre impuissant !
Pendant ce temps, au lieu de faits et de données (y compris des millions d'euros de dommages et intérêts impayés, mal payés et en retard ou, pire, que personne ne veut payer), nous continuons à proposer les solutions banales habituelles pour résoudre le problème de la surpopulation de loups : toujours et en dans tous les cas nier (comme certains juristes l'enseignent aux trompés !) la croissance démographique, réduire le montant des dommages en ne payant pas les plus douteux, éventuellement en les plaçant le plus possible sur les lycaons fantômes (aujourd'hui il est de bon ton d'en donner aussi aux hybrides ) et, en conclusion…, que les éleveurs gardent le Loup !
Risque d'agressions sur les humains ? Absolument démenti malgré les nombreuses épreuves du passé et du présent (la dernière en Ombrie en 2013) : un tabou même pour en parler (il semble lire sur l'épopée partisane des éditions… « Pansiana »). Espérons seulement que tôt ou tard une "bête" comme celle du Gévaudan français de 1764 ou de Pacentro (Majella) de 1839 ne revienne pas !
Sur l'origine contestée de la population croissante dans les Alpes ? Les experts s'en sortent de la manière la plus simple : nier la validité de la sous-espèce des Apennins, alors : « aujourd'hui, grâce aux résultats des investigations génétiques, (les savants ndlr) sont plus enclins à ne pas considérer les populations vivant en Méditerranée comme une espèce à part sous-espèce, mais faisant partie d'une seule sous-espèce, Canis lupus lupus qui vit dans le centre et le nord de l'Eurasie avec différentes variétés géographiques ». C'est-à-dire qu'un jour ils s'en sortiront en reconnaissant la variété alpine comme une variété à part entière (qui, comme par hasard, a déjà des caractéristiques comportementales et phénotypiques différentes de celles des Apennins, mais qui sont niées, pour empêcher que ses origines françaises soient reconnues !).
Ici, les Italiens habituels : BEAUCOUP d'hypocrisie et de mystification, JAMAIS de raisonnabilité. Mais nous en subirons bientôt les conséquences, les écologistes « lupophiles » en crédibilité, et le loup… sur la peau. Malheureusement, le Loup, comme toute la Nature, ne se défend pas (ou ne devrait pas se défendre) avec des mensonges, mais avec la réalité des faits comme on le fait dans les pays où le sérieux scientifique se conjugue avec le raisonnable.
Signé par Franco Zunino
Secrétaire général de l'AIW
(11 février 2014)