Comme le rappelle l'association, à ce stade, le TAR devra fixer la salle du conseil pour l'examen collégial, avec la décision consécutive des audiences sur le fond. Qu'est-ce qui a poussé les juges administratifs toscans à rejeter la suspension demandée par les chasseurs ? Les associations réunies au sein du CCT avaient notamment souligné comment les données et les résultats scientifiques pour la programmation de la chasse elles ne peuvent se limiter aux frontières des territoires nationaux, mais étendu à des contextes internationaux homogènes lorsqu'il s'agit d'espèces migratrices.
Par ailleurs, l'incongruité des calendriers de chasse des départements français de la Haute Corse et de la Corse du Sud a été mise en évidence, dans laquelle la date limite est le 20 février, une différence entre la Toscane et la Corse qui reste inexpliquée, la région italienne et l'île française étant similaires sur le plan des préoccupations routes migratoires, aires d'hivernage et caractéristiques géographiques et climatiques. Un autre motif d'appel était celui de l'excès de pouvoir dû à un abus. Entre autres choses, la fermeture anticipée causerait des dommages graves et irréparables aux associations qui ont eu recours au TAR et aux milliers de chasseurs toscans qui sont représentés par eux.
Dans le document présenté en l'espèce, un levier a été fait sur l'impossibilité de la catégorie d'exercer un droit légitime (celui de chasser évidemment) donc ils ont payé des taxes gouvernementales et régionales selon le calendrier de la Région. Il en va de même pour le secteur de la chasse dans son ensemble et les industries connexes. En effet, la suppression de deux week-ends (23-24 janvier et 30-31 janvier) est sur le point d'en entraîner un réduction du flux touristique-chasse et du réceptif et touristique, soutenu par la masse des chasseurs.
Je voudrais rappeler à tous les chasseurs quand vous allez voter de faire attention pour qui vous votez, rappelez-vous qui nous a dénigrés.