Lieux colonisés
Coexistence, coexistence, un équilibre très faible, une barre fragile : les grands carnivores, prédateurs par excellence, ne sont plus une rareté, mais font désormais partie intégrante de notre quotidien. Où commencer? Pendant ce temps, pourquoi sont-ils revenus. Il y en aura, et les raisons sont nombreuses, étant donné que rien n’arrive par hasard. Sont-ils un atout, une place prestigieuse dans le classement de la biodiversité, un symptôme et un témoignage d'une sensibilité moderne et vraie ? Mais attention : ils colonisent des lieux anthropisés depuis la nuit des temps.
Une réglementation déficiente
Et puis? Ainsi, comme cela arrive toujours dans le pays italien, nous attendons des convergences heureuses et positives qui nous permettront de « grimper » dans le train du vainqueur sans aucun mérite. Bref, attendre est un mauvais comportement. Nous ne pouvons plus tolérer une législation déficiente et, disons, irrespectueuse. Le courage de décider, de gérer, de dire non, de faire comprendre que l'homme doit « coordonner », ne peut se substituer au système, système qu'il a contribué, pour le meilleur ou pour le pire, à façonner.
Le rendez-vous télé
Les agriculteurs ne peuvent plus supporter le coût de ce « bien collectif ». Qu'on le veuille ou non, mais c'est comme ça. Ce bien leur pèse entièrement et ils sont donc doublement pénalisés. Il n’était pas nécessaire que cela se passe ainsi, cela n’était pas du tout nécessaire. Essayons donc de rattraper le temps perdu. Nous décidons des voies et moyens de cohabiter, pour que l'éleveur, par hasard aussi gardien d'animaux peut-être considérés comme de seconde zone, puisse opérer de manière sereine et respectueuse. Nous tenterons de faire tout cela le 4 décembre à partir de 9,30h3, dans notre rubrique Said and Done en live streaming sur www. Canale84.tv et en direct sur la chaîne XNUMX (Source CONFAGRICOLTURA).