L'Institut supérieur pour la protection et la recherche de l'environnement (ISPRA) a reçu ces dernières semaines plusieurs propositions concernant contrôle du mouflon sur l'île d'Elbe, pour être précis dans le Parc national de l'archipel toscan. Maintenant, il a décidé de clarifier la question. L'ISPRA a rappelé comment l'origine de cette population dépend des lâchers à des fins de chasse qui ont été effectués dans les années XNUMX.
L'espèce est donc allochtone et provoque des impacts assez importants sur la biodiversité, en particulier dans les contextes insulaires. L'Institut a ensuite souligné l'impact des mouflons sur 189 espèces menacées d'extinction, sans oublier les atteintes aux espèces végétales et aux habitats naturels. L'éradication est prévue par le Stratégie nationale pour la biodiversité, bien qu'en Italie il y ait des exceptions, à savoir celle de Mouflon sarde, défini parautoctono en 2015 (cela signifie qu'il a été introduit avant le XVIe siècle).
Comme indiqué dans la note de l'ISPRA, alors, la mise à mort de l'animal est également autorisée à l'intérieur des parcs recomposer les déséquilibres écologiques : le Parc de l'Archipel Toscan est un parc national, par conséquent même pas l'évaluation technique de l'institut n'est nécessaire. Enfin, il n'y a pas d'alternative alimentation stérilisante pouvoir effectuer un contrôle non sanglant, tandis que le transfert vers la Sardaigne et la Corse doit être rendu nécessaire par des objectifs de conservation.