"Nous avons estimé à abattre sélectivement entre 5 8 et XNUMX XNUMX têtes, sans oublier toutefois que l'année dernière 4 XNUMX spécimens ont déjà été tués. Nous devons maintenant améliorer nos capacités de mise à mort sélective, en ciblant les individus qui font grandir l'espèce. Cette activité doit être liée à un système de traitement de la viande afin que les animaux abattus puissent entrer une chaîne de consommation standardisée". C'est ce dont parle le professeur Domenico Fulgione, du département de biologie de l'université Federico II de Naples, qui revient pour gérer, après avoir déjà occupé ce poste dans le passé, le plan de gestion d'urgence du sanglier. dans le Cilento.
Lui et son équipe auront pour tâche de contrer ce qui est devenu un vrai fléau au sud de la province de Salerne, avec des rafles dans les centres urbains et des dommages toujours plus importants au secteur agricole. Sans oublier, malheureusement, aussi les accidents de la route. Et pour le professeur, la seule voie à suivre est celle de l'abattage sélectif. "La solution la plus efficace est la mise à mort sélective, en soustrayant les individus responsables de la croissance démographique de l'espèce - ajoute Fulgione - Il est évidemment fondamental faites-le sélectivement car sinon on risque de faire double dommage, faire proliférer leur présence "(Le Matin).