Les gardes du parc du Parc National du Grand Paradis ont été retrouvés un aigle blessé et c'est immédiatement la chasse au chasseur. La nouvelle de la découverte de l'aigle a été rapportée par la presse de cette manière". Le dimanche 27 juin, les gardes du parc du Grand Paradis ont été les protagonistes de la récupération d'un spécimen adulte d'aigle royal à Ceresole reale, l'oiseau de proie est blessé à l'aile et présente des symptômes de saturnisme présumé ». Ils attendaient que les chasseurs déclenchent une nouvelle croisade contre la chasse et les chasseurs. Avant même de vérifier si la blessure subie par l'aigle a été causée par Arma da fuoco ou si les symptômes de l'animal étaient vraiment liés au saturnisme, les commentaires sur les réseaux sociaux de ceux qui ont très peu de sympathie pour la chasse et les chasseurs se sont déchaînés.
Giulia écrit « Je ne suis pas une experte du secteur mais puisque la cause de l'empoisonnement dérive probablement à partir d'un ou plusieurs outils de chasse (cependant, je me demande si ce n'est pas du braconnage), la chasse doit soutenir financièrement les traitements.» Bruno écrit "il ne s'agit pas de braconnage mais de munitions et de non-enterrement des entrailles des animaux tués". Et ainsi de suite avec d'autres commentaires de cette nature... ... J'ai pris la liberté de commenter ces commentaires, rappelant que les blessures subies par l'aigle trouvé dans le Parc National du Grand Paradis ne semblent pas du tout avoir été causées par une arme à feu, rappelant également que dans tous les parcs, en raison de la loi-cadre sur les aires protégées n. 394/91 toute forme de chasse est interdite et donc l'aigle ne peut pas avoir été empoisonné se nourrissant des entrailles d'animaux tués par les chasseurs ».
On peut en déduire que la chasse et les chasseurs n'ont aucune responsabilité pour la blessure de l'aigle trouvé et pour son empoisonnement présumé et non encore établi. Un vieil adage dit : "Ça dénigre, ça dénigre qu'il reste quelque chose..." Voici la tactique utilisée par les chasseurs : utiliser tous les outils possibles (y compris les mensonges, les vérités non examinées ou les hypothèses imaginatives) pour dénigrer l'image de la chasse et des chasseurs. Dans une opinion publique qui ne connaît pas toujours la vérité, la désinformation pilotée des anti-chasse à Malafede risque de s'enraciner ou de laisser des traces, notamment dans la phase de préparation de l'offensive référendaire (Hon. Sergio Berlato - Président pro tempore de l'Association pour la Culture Rurale)