Alexandre Sala - "Le bon sens l'a finalement emporté également en ce qui concerne le matériau et les caractéristiques de l'anneau qui seront déterminés par l'organe exécutif. La proposition simplifie et réduit, et pas peu, les obligations des chasseurs en possession d'appelants vivants, tout en continuant à garantir les finalités de la base de données. Cependant, il me vient immédiatement à l'esprit que parmi ceux-ci, il aurait dû y avoir non seulement la connaissance du patrimoine des leurres vivants en possession des chasseurs lombards, mais la poursuite des captures de ceux-ci dans les plantes (rocoli) gérés par les Provinces. Ce qui pour le moment n'est pas garanti et pas seulement à cause de la Région comme certains aiment à le croire.
Certains aspects de la gestion des domaines alpins et des domaines seront alors modifiés, comme la réduction du collège des commissaires aux comptes de trois à un et dans les domaines l'élection du président du comité de gestion sera confiée au comité lui-même et non plus à l'assemblée des actionnaires, comme c'est déjà le cas dans les régions.
Il est clair que les amendements présentés répondent aux objectifs de la loi en discussion : simplifier les obligations que les citoyens lombards sont appelés à respecter. Il n'était donc pas possible à ce moment d'imaginer une révision globale de la loi 26/93, révision qui doit intervenir au plus vite s'il est vrai qu'avec les réformes du régime d'autonomie de la Région approuvées par le Conseil du Le 20 juin dernier, les fonctions concernant la chasse et la pêche ont été transférées des Provinces aux Régions elles-mêmes. Cependant, j'ai cru, selon une maxime qui a toujours caractérisé mon travail, à savoir "ceux qui ont le temps, n'attendent pas le temps", présenter d'autres amendements tout en respectant ce qui est le but que propose la loi en discussion.
J'ai donc proposé de réduire le nombre de membres des comités de gestion des zones de chasse territoriales, en respectant les dispositions de la législation nationale 157/92 qui, au paragraphe 10 de l'article 14, établit de manière péremptoire les pourcentages à attribuer aux représentants des associations et entités habilités à composer le comité lui-même. Ils passeront de vingt à onze, avec des dépenses moindres et plus de rapidité dans la prise de décision.
Face à des injustices flagrantes, souvent le résultat d'un égoïsme de chasse injustifié, qui se sont malheureusement produites ces dernières années avec une périodicité désarmante, j'ai décidé de proposer que je m'oppose aux dispositions des provinces, régions et districts alpins adoptées dans le domaine de la chasse, à l'exclusion de celles relatives à la chasse.application des sanctions administratives, le recours hiérarchique au conseil de notre région est autorisé sans être obligé de recourir aux juges ordinaires ou administratifs, avec des frais considérables et des délais longs.
Compte tenu de la baisse continue et irréversible du nombre de chasseurs, les positions tendant à limiter l'accès à seulement deux ou plusieurs zones alpines ne semblent plus défendables. J'ai donc proposé de supprimer la disposition régionale qui exige que le chasseur domicilié en Lombardie ne puisse être membre que d'une seule Atc ou CA de la région, en plus de celle de résidence. Le tout évidemment dans le respect d'une relation entre les chasseurs et le territoire agro-forestier pastoral qui ne remet pas en cause une planification efficace de la faune cynégétique.
Enfin, j'ai cru qu'il était temps de mettre de côté l'égoïsme de chasse contre-productif, que je viens d'évoquer, au profit d'une liberté de mouvement « de chasse » espérée, fût-elle limitée et responsable. En effet, celle-ci est déjà en partie garantie par l'alinéa 2 de l'article 35 de la lr, mais elle l'est non seulement partiellement mais aussi si compliquée et bizarre qu'elle décourage le chasseur qui entend profiter de cette opportunité. J'ai donc imaginé que le chasseur lombard, dans le respect exclusif du choix de la forme de chasse, puisse disposer gratuitement à partir du troisième dimanche d'octobre de chaque saison de chasse d'un forfait de dix jours pour effectuer la chasse aux chasses migratoires de harcèlement temporaire également avec l'utilisation d'appels en direct dans toutes les zones ou dans la zone de moindre protection des zones alpines de la région. En outre, dans tous les Atc et Ca de la province de résidence et dans tous les Atc et Ca des provinces dans lesquelles le chasseur est enregistré au moins dans une zone ou un district, dans le cadre du forfait décennal susmentionné, il pourra pratiquer la chasse errante, et donc non seulement de la traque temporaire, à la migratrice sont également l'utilisation du chien d'arrêt.
Ces amendements qui m'appartiennent ont été signés par le conseiller régional Alberto Cavalli et par le conseiller régional Fabio Rolfi.
Enfin, s'il vous plaît, ne me dites pas que cette opportunité finira par miner la planification de la faune cynégétique des ATC et CA lombards ou que dans certaines zones une présence inacceptable de chasseurs sera créée. Je reste d'avis que les limitations introduites par la loi nationale puis par les régionales il y a vingt ans quand les chasseurs étaient plus d'un million et demi n'ont plus de raison d'être maintenant que les adeptes de Dina sont réduits de moitié. Et parmi ces limitations à annuler, j'inclus également l'obligation de choisir une forme de chasse - poste fixe, errance en plaine et errance dans le domaine alpin - à pratiquer exclusivement. Mais c'est une tâche du législateur national. »
Alexandre Sala
Conseiller régional de Lombardie