Chasse et sangliers, Coldiretti demande à Parco Colli de suivre les "Modèle Lessinia". Et en attendant environ Euganéi nous revenons pour recueillir des chiffres réconfortants en termes d'abattage : le mois de juin qui vient de s'achever a été parmi les plus prolifiques de tous les temps : 247 sangliers abattus en un mois. Sur le territoire de la Mont Baldo et Lessinia - zone pas trop éloignée de l'Euganéen - les résultats obtenus avec la chasse pendant la période de chasse, conjugués à l'activité des opérateurs qualifiés qui mettent en œuvre le plan de lutte pour le reste de l'année, ils sont encourageants et représentent un modèle à adopter dans d'autres domaines. C'est précisément ce qu'affirme la Coldiretti Veneto concernant les données communiquées par la Région, qui confirment la nette réduction de la présence de sangliers et, par conséquent, la réduction des dommages subis par les entreprises agricoles et les citoyens.
Ils réclament de Coldiretti Vénétie: "Le régime expérimental pourrait représenter une solution à appliquer ailleurs, évidemment à l'exception des aires protégées, dans lesquelles ils doivent être mis en œuvre de manière plus décisive les plans de contrôle". Massimo Bressan, président de Coldiretti Veneto insiste : « Dans notre province, il existe de vastes zones de la plaine, en dehors de la zone du Parco Colli, dans lesquelles il conviendrait d'intensifier l'activité de maintien de l'ordre, vu les dégâts que les animaux sauvages causent aux cultures et le danger qu'ils représentent pour la sécurité ». C'est le cas des localités Vallette et Lande d'Ospedaletto Euganeo et de la campagne entre le talus de Brancaglia et Sostegno a Este, pour ne citer que deux exemples, mais les sangliers sont allés encore plus au sud en suivant les rives des canaux et ont également été aperçu dans la Haute Padouane.
« Nous espérons que les résultats obtenus dans la province de Vérone nous permettre d'agir efficacement aussi sur nos territoires » poursuit Bressan. «L'objectif principal doit être la réduction de la population de sangliers dans toute notre province et pour y parvenir, une action constante et coordonnée est nécessaire dans le temps. Avec l'arrivée de l'été les sangliers bougent encore plus, à chercher de l'eau et de la nourriture, et évidemment ils ciblent les cultures, du raisin aux fruits, mais ils détruisent aussi des champs de maïs, de blé, de soja. Nous sommes en pleine saison de croissance et l'activité dans les champs et les sangliers représentent une menace quotidienne autant qu'un réel danger". Pendant ce temps, du Parco Colli, le bulletin d'abattage a confirmé un mois de juin prolifique.
Bonne nouvelle, surtout lorsqu'elle est combinée avec le "désert" de ces derniers mois : en pleine urgence Covid-19, le confinement des sangliers avait été tellement interrompu que des abattages aussi bas n'avaient jamais été atteints au cours des dernières années d'activité. En juin, 247 sangliers ont été tués dans les régions euganéennes (141 hommes et 106 femmes), ce qui porte le total des abattages en 567 à 2020. On s'est remis sur les rails : l'an dernier en juin 238 ongulés ont été piégés (mais il y avait déjà 825 animaux abattus), en 2018 puis 193 (pour un total de 546 depuis le début de l'année), l'année d'avant 284 (et il y avait un total de 770) puis 139 en juin 2016, sur un total qui atteignait 620 ce mois-là. "Record" de 1.679 2019 abattages annuels en XNUMX (Le Matin de Padoue).