La satisfaction de la Ligue
« Les montagnes et les collines de l'Ombrie deviennent libres d'être vécues, évidemment dans le respect de l'environnement et de la réglementation en vigueur. Les incertitudes qui ont conduit à des sanctions injustes contre les chasseurs, les chercheurs de champignons et les passionnés de motocross vont enfin disparaître." Le conseiller de la Ligue a exprimé sa satisfaction du vote lors de la séance du Conseil Régional, qui a donné le feu vert au dernier budget de cette législature. Manuela Puletti, signataire de l'amendement approuvé qui - souligne-t-elle - "changera les règles de l'expérience de la nature".
L'objectif de l'amendement
« Grâce à cet amendement – explique Puletti – il sera possible de circuler avec n'importe quel véhicule à moteur sur les sentiers, les chemins muletiers et les avenues coupe-feu où des panneaux d'interdiction n'ont pas déjà été placés. Cet acte, fortement souhaité par la Ligue et soutenu par l'ensemble du centre-droit, met donc fin à une législation qui se prêtait jusqu'à présent à différentes interprétations et qui limitait fortement le potentiel de nos montagnes".
L'inspiration de la Vénétie et de la Lombardie
« Avec cette innovation – poursuit le représentant de la Ligue – l'Ombrie se place sur la même ligne que des régions particulièrement développées, comme la Lombardie et la Vénétie, qui ont déjà rendu possible le transit des véhicules automobiles. Ce faisant, la Ligue, depuis toujours proche du monde cynégétique, confirme sa vision d'une politique active, d'une politique d'action et d'opportunités. La forêt et nos collines – observe Puletti – représentent une grande ressource pour l'Ombrie et il est du devoir de la politique de faciliter des mondes importants et identitaires de l'histoire de l'Ombrie comme celui des chasseurs, des chercheurs de champignons et des motocyclistes. Le faire avec des règles claires et certaines – conclut-il – représente également la meilleure protection de la nature. La politique du « oui » a une fois de plus vaincu la politique du « non » qui, au nom d'un environnementalisme instrumental, crée en réalité une distance entre la nature et l'homme » (source : Région Ombrie).