Au cours des dernières heures, une circulaire du Région Vénétie qui apporte quelques précisions sur les modalités d'accès et de réalisation de la mobilité, comme l'a fortement demandé Arci Caccia Vénétie lors de la dernière réunion avec la Région du 27 septembre dernier. Nous publions un extrait de la résolution puis, par la suite, le dossier de la résolution complète :
Afin de mettre pleinement et efficacement en œuvre les dispositions réglementaires en cause, un programme informatique spécifique a ensuite été développé pour la gestion des demandes et la délivrance des autorisations aux régime de mobilité de chasse en cause, équipé d'une interface utilisateur accessible via le site www.movemose.it.
A la suite et dans le cadre d'une interlocution et d'un partage entre la Direction Régionale de la Chasse et les Associations Régionales de Chasse, deux façons de mettre en œuvre le régime de mobilité de chasse, comme indiqué ci-dessous : - un maximum de n. 19 (trente) jours de mobilité pendant la saison de chasse ; les journées peuvent être réparties entre mobilité du harcèlement criminel fixe et de la mobilité sous forme de randonnée (ce dernier, avec ou sans chien); dans le cas de la forme errante, le chasseur autorisé à accéder en mobilité dans un ATC déterminé doit être accompagné d'un chasseur déjà membre du même ATC ; - Les ATC relevant de la zone de la lagune de Valliva sont exclus de la possibilité d'accès en mobilité ; - la chasse en régime de mobilité - à partir d'un poste fixe - peut être autorisée pour un total de n. 30 (trente) jours au total, avec un maximum de n. 10 (dix) jours pour chaque ATC choisi ; - la chasse en régime de mobilité - sous forme errante (avec ou sans chien, avec obligation d'accompagnement) - peut être autorisée pour un total de n. 10 (dix) jours au total, avec un maximum de n. 5 (cinq) jours pour chaque ATC choisi.
Il est clair, mais il est jugé opportun de le rappeler ici, que l'option « avec/sans chien » en cas d'autorisation de chasse à la mobilité sous forme errante suit seulement à la possibilité que le chasseur mobile, issu de l'exercice de chasse pratiqué dans son ATC, puisse amener son chien avec lui, sans pouvoir attribuer à cette gestion une finalité, une fonction ou un but au regard de la chasse itinérante autorisée, qui s'applique exclusivement au gibier migrateur. Donc, l'absence éventuelle du chien accompagnateur dans le cadre d'une autorisation "avec chien" ou la présence du chien dans la tenue d'une autorisation demandée et délivrée "sans chien" ne revêt aucune valeur de défaut au chasseur et, à ce titre, on estime qu'il ne devrait pas faire l'objet d'une évaluation et d'une sanction.
En ce sens, il est rappelé et précisé que la mention « avec ou sans chien » dans la demande et autorisation conséquente ne révèle rien quant aux contraintes et limites envisagées pour l'autorisation ou le refus d'autoriser les journées en mobilité. En tout état de cause, le fait que le chasseur admis au dispositif de mobilité sous une forme errante et qui décide d'accéder - avec un chien - à l'ATC objet de l'autorisation en question n'en est pas affecté, doit garantir un comportement de votre animal suivant respectueux de toutes les limites, les contraintes et limitations en vigueur et applicables dans la zone accessible en mobilité. Toute infraction fera donc l'objet, par les instances compétentes, de vérification et d'application des sanctions relatives au propriétaire/manieur du chien.