WWF, LIPU, ENPA, PAN-EPPAA, Legambiente, LAV et LAC ces derniers jours, ils ont déposé un recours auprès du tribunal administratif régional du Trentin pour contester l'abolition récente du comité de la faune. Les raisons invoquées par les associations de protection des animaux et de l'environnement sont essentiellement au nombre de quatre. Tout d'abord, après avoir discipliné question environnementale il a été considéré comme un acte inconstitutionnel et qui n'est pas de compétence provinciale primaire. La deuxième raison est liée à l'élimination d'un organe s'inspirer de la réduction des dépenses.
Selon les associations elles-mêmes, ce serait une économie de moins de 1500 euros par an, trop peu pour justifier la suppression du comité. La troisième raison est celle de la pouvoir qui appartient au conseil provincial qui n'est que modificateur ou suppressif et non institutif. Par ailleurs, il y a le quatrième motif d'appel, à savoir l'exclusion des interventions écologistes pour l'élaboration du calendrier de chasse qui serait même contraire aux règles du droit international.
Julia Zanotelli, conseiller pour la chasse de la province de Trente, a commenté la disposition comme suit : "Les associations environnementales ont parfaitement le droit de faire appel de la décision, mais en tant que Province, nous confirmons l'exactitude et la validité de la décision. En ce qui concerne l'implication des écologistes, la loi prévoit le tableau de chasse et celui de Casteller qui envisage leur contribution ».