Les nouvelles qui fuient
Sauf circonstances imprévues, le prochain calendrier de chasse deÉmilie-Romagne il devrait ramener la structure scientifique de l'édition précédente. "Nous pensons qu'il faut partir de là, de la version 2023/2024", a déclaré mercredi après-midi en commission des politiques économiques le conseiller régional Alessio Mammi. Parmi les innovations qui ressortent de l'élaboration de la nouvelle disposition, citons l'introduction de la collecte de données par voie informatique, le maintien de 2 jours supplémentaires pour la chasse à l'approche et la chasse migratoire, le dressage des chiens du 18 août jusqu'au troisième dimanche de septembre et le prolongation de la chasse à la bécasse jusqu'au 31 janvier.
Les pensées de l'hon. Fellations
Le conseiller régional de la Ligue, Massimiliano Pompignoli, se dit satisfait de cette démarche : « Les propos du conseiller Mammi représentent un excellent signal et un bon point de départ pour nos chasseurs. Il était important que la Région maintienne sa position face aux idéologies folles de certaines associations écologistes. Nous attendons donc la transmission du projet de texte qui devrait intervenir prochainement."
Le LAC fait appel
Si d'un côté le conseiller Pompignoli tient des propos conciliants à l'égard du conseiller Mammi, de l'autre il ne ménage pas une attaque sévère envers le Lac (Ligue d'abolition de la chasse) et le Tribunal administratif régional : "Nous avons été là pour combattre les recours fractionnaires des le Lac et les suspensions du TAR, qui n'ont jamais été inscrites au fond. À l'avenir, grâce au décret sur le patrimoine et aux modifications de la Ligue, d'importants changements dans la législation nationale sur la chasse sont attendus. En particulier, un changement de calendrier est attendu pour la discussion des appels. Le TAR aura l'obligation de fixer dans un délai de trente jours l'audience de débat au fond, rendant ainsi plus difficile la contestation des calendriers devant les tribunaux régionaux".
Profils de légitimité
« Notre espoir – conclut Pompignoli – est que nous ne rencontrerons plus d'appels et de fermetures anticipées. N'oublions pas que dans d'autres Régions, en effet, le TAR a donné tort aux requérants et confirmé la validité des calendriers de chasse, rejetant toute prétendue illégitimité. En Émilie-Romagne, nous nous trouvons toujours confrontés à des non-victoires et à l'incertitude la plus absolue donnée par les pressions et les pressions des tribunaux et des méchantes associations de défense des droits des animaux".