La première section de la Tribunal administratif régional de Calabre elle s'est exprimée sur le recours formé par un homme contre le Préfecture de police de Catanzaro et une interdiction de possession d'armes, de munitions et d'explosifs. En même temps, cette personne avait été forcée de révoquer la permis de collection d'armes. Que s'est-il passé concrètement ? Lors d'un contrôle au domicile de l'homme, ils ont été retrouvés un pistolet et deux revolvers qui n'étaient pas notés dans le permis de collecte d'armes.
Selon ce qui a été rapporté par le même, il s'agissait d'armes appartenant à son frère et pour cette raison, les policiers avaient tout confisqué, dénonciation de la personne pour possession illégale d'armes à feu ordinaires. L'appel n'a pas été accepté. Selon les juges administratifs, en effet, le manque de fiabilité de l'usage des armes suffit à justifier le retrait du permis, sans qu'il soit nécessaire de prouver l'abus.
Le nombre d'armes trouvées au domicile du demandeur et le défaut de déclaration dans le permis sont deux motifs valables de révocation et d'interdiction, en conséquence, l'homme a été condamné à payer les frais du procès, à savoir Euros 2mila au profit de l'administration. Il s'agit d'un jugement auquel il faut nécessairement se référer lors de l'appréciation de cas similaires.