L'arrêté régional de Piémont signé par le président Alberto Cirio, approuvé il y a un mois, pour le dépeuplement des sangliers avec des mesures extraordinaires après une épidémie de Peste porcine africaine dans le Piémont. C'est ça la plainte Coldiretti Piémont en se rappelant que l'objectif est de tuer au moins 50 XNUMX sangliers. "A l'absence de certaines actions préparatoires pour la fonctionnalité de l'ordonnance, s'ajoutent des positions inacceptables par divers instituts de chasse ainsi qu'une résistance inexplicable de certains Administrations provinciales qui bloquent effectivement les opérations.
Il faut donc que les Organes qui, pour diverses raisons, ont un rôle actif dans la mise en œuvre de l'ordonnance, assument leurs responsabilités et donnent des indications précises sur les procédures et les méthodes à adopter ", notent Roberto Moncalvo président de Coldiretti Piemonte et Bruno Rivarossa Délégué confédéral en envoyant les conseillers régionaux compétents une lettre spécifique avec une série de contenus essentiels à mettre en œuvre de toute urgence, afin d'engager efficacement des actions de dépeuplement, en surmontant les obstacles de divers types qui se sont présentés.
"Nos entreprises, en particulier dans la zone infectée et tampon, subissent les effets de lourdes limitations pour lesquelles il est nécessaire que, dans les meilleurs délais, des ressources régionales et nationales adéquates soient identifiées pour les restaurer, à travers des procédures permettant quantifier les dommages et les pertes économiques découlant de la réduction des opérations. Toujours dans cet esprit - concluent-ils - les engagements que doivent respecter les entreprises vis-à-vis des règles de la PAC et du PSR devraient être revus pour éviter des sanctions, pénalités ou réductions qui impacteraient davantage une situation déjà difficile générée par la peste porcine et par les bouleversements du marché avec la guerre d'Ukraine" (source : Coldiretti).